No hay quien lo socorra est une œuvre d’art originale réalisée par le grand artiste espagnol Francisco Goya en 1810. Gravure originale sur papier. L’œuvre appartient à la célèbre série « Los Desastres de la Guerra » réalisée pendant les années de la guerre d’indépendance espagnole et publiée pour la première fois en 1863. Elle représente les horreurs et le désespoir de la guerre.Intitulé dans la marge inférieure centrale « No hay quien lo socorra » (Personne ne les aide). Numéroté dans le coin supérieur gauche. Gravure N. 60.Bonnes conditions.Un couple d’adultes et un d’enfants, tous morts ou à l’agonie, gisant sur le sol par inanition, provoquent le désespoir d’un pauvre homme affamé qui porte ses mains à son visage. Les effets de la faim, visibles dans l’incision squelettique des extrémités, ont produit cette situation terminale. La nature pathétique de la scène a été renforcée par le fait que Goya présente ces personnes démunies au milieu d’un désert, loin des centres de charité des villes et d’autres types d’aide. Le fond obtenu par le brunissage à l’aquatinte donne l’impression d’une aube que les pauvres ne verront jamais.
- Créateur: Francisco Goya (1746 – 1928, Espagnol)
- Année de création: 1863
- Dimensions: Hauteur : 23,5 cm (9,26 po)Largeur : 32 cm (12,6 po)Profondeur : 1 mm (0,04 po)
- Support: Eau-forte,Aquatinte
- Mouvement et style: Maîtres anciens
- Période: 1860-1869
- État: Bon étatUne assurance peut être demandée par les clients comme service supplémentaire, contactez-nous pour plus d’informations.
- Adresse de la galerie: Roma, IT
- Numéro de référence: Vendeur : M-1015131stDibs : LU65034413181
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Francisco Goya
Francisco José de Goya y Lucientes (1746-1828) est un peintre et graveur romantique espagnol. Il est considéré comme l’artiste espagnol le plus important de la fin du XVIIIe siècle et du début du XIXe siècle. Ses œuvres contiennent souvent un message social, comme dans sa série « Disasters of War ». Goya, qui a connu un immense succès de son vivant, est souvent considéré à la fois comme le dernier des vieux maîtres et le premier des modernes. Il était également l’un des plus grands portraitistes de son époque.
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